Le Diner d’Avril
Ce mois-ci, un divin diner pour dix nez férus d’oenologie : Prose, eat, ate, eaten, à l’Unisson au bon boc, bique et Braque. Alors là, le grelot trouvera sa mimine d’un dîner, pas pour longtemps, mais le temps qu’il faut.
Oyez, Oyez de vos plus grandes esgourdes, de choux ou plus ensablées, le dîner d’Avril sera le plus grand par la longueur de l’hypothénus absynthe mais présente. Le vert de rigueur, présidera le rouge aux lèvres pendues nous serons.
Un vert, deux rouges et trois côtes à rire pour se tenir bien chaud. Le programme dans son intégralité sera éclairé par la plus grande des chandelles vertes de celui qui l’eut bu et qui l’eut cru.
La première tournée sera concave pour ne vexer personne car beaucoup de sire qu’on flexe ont perdu en souplesse avec les années.
La seconde tournée n’aura pas à rougir car elle fera face au dos de la première. C’est donc sous l’hospice d’une trés beaune blanc immaculé que le sacerdotal s’exprimera, s’exclaffera, s’extraira pour finalement s’expinacolader. Car il en a deux, évidemment.
La troisième et tierce donc, puisque suppléante à la seconde et antéquattro, tournée sera de trois quart à la première puisque l’on aura déjà tourné 2 fois d’un pas ravi, auparavant. L’instant sera grave et bref.
Voilà, c’est parfait, vous savez tout, à très bientôt!